Je viens seulement de comprendre. Les gendarmes m'ont dit avec un air très sérieux qu'ils m'avaient vu à Sallanches, et que si cela se reproduisait, je finirais en prison. Il faut vraiment être incapables pour ne pas comprendre que ces plaintes constituent une preuve irréfutable d'une fuite de données concernant une décision administrative, dont l'accès est strictement réservé à moi-même et aux représentants du tribunal, et que leur divulgation à des tiers est illégale.
Or, ce que nous voyons, c'est que par leurs plaintes, ces personnes ont démontré leur connaissance des obligations qui me sont imposées. Cela signifie que l'information fuit par les représentants des forces de l'ordre, ce qui confirme pleinement le complot contre moi.
De plus, le fait que mon arrestation ait été dissimulée à mon consulat pendant plus de 48 heures constitue un motif pour ouvrir plusieurs affaires pénales. Ces affaires impliqueront non seulement les représentants eux-mêmes de la gendarmerie, de la préfecture et du tribunal, mais aussi la citoyenne S**** C***** en tant qu’instigatrice principale de toute cette affaire.
L’ensemble de la charge administrative sera précisément transféré sur elle. Ici, il ne s'agit plus de dilettantes locaux ou d’avocats incompétents de Bonneville, mais des autorités parisiennes au minimum vont prendre le relais.
D’ailleurs, la Cour européenne des droits de l’homme est déjà informée, j'ai la confirmation de la réception de l'information.