Ça me fait tellement mal de ne pas m’être arrêté ce jour-là en novembre. J’en avais tellement envie, j’espérais tellement que tu voulais parler, te rapprocher… mais j’ai eu peur que tu veuilles me faire du mal, et j’étais tellement vulnérable à ce moment-là parce que je venais juste de m’isoler, je n’y étais pas encore habitué. Je pensais que c’était un piège, mais à quoi bon toutes ces excuses ? Parfois, je me dis que je pourrais déjà être père, que tu pourrais déjà être enceinte, porter mes enfants, être heureuse, tu ne fumerais plus… Tout irait bien entre nous. Et à la place, je me retrouve avec tout ça, et je perds du temps. Oui, j’ai suivi un chemin que je n’aurais sûrement jamais pris si je m’étais rapproché de toi tout de suite. Mais ça me fait vraiment très mal.